Plusieurs associations se sont réunies, en partenariat avec l’OMS pour mener deux jours de réflexion sur le thème de la lutte contre les cancers gynécologiques, à l’hôtel Retaj de Moroni.
Il en sort que le pays manque de données sérieuses concernant les personnes atteintes. Il n’y a pas de registres dans les hôpitaux répertoriant les cas de cancer. Il n’existe que des petites études réalisées par des ONG locales.
Une organisation se distingue des autres par le travail remarque qu’elle effectue, c’est ACCF, Association comorienne contre le cancer chez la Femme, en trois ans, elle a permis de dépister 1670 femmes et découvrir que 15 d’entre elles avait le cancer.
Parmi les solutions proposées, il y a la création au ministère de la Santé, d’un programme spécifique de lutte contre le cancer. Ainsi que des campagnes de sensibilisations aux facteurs favorisants cette maladie.
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